La femme de Julien Cohen compte demander une ordonnance de protection contre le célèbre antiquaire

Ancien visage incontournable de l’émission Affaire conclue, l’expert se retrouve rattrapé par la justice : révélations, tensions et lourdes conséquences s’enchaînent.

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L’affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen a quitté les coulisses privées pour s’inviter au grand jour. Ce qui n’était au départ qu’un conflit conjugal s’étale désormais dans les tribunaux, sur les réseaux et dans la presse. Un divorce houleux, des salariés pris au piège et un hôtel fermé en pleine saison. À Sauvigny-le-Bois, on ne parle plus que de ça : le Relais Fleuri vit au rythme d’un drame personnel.

L’affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen : un hôtel figé par le conflit

Depuis plusieurs semaines, l’établissement, rouvert en 2024 après des travaux d’envergure, a baissé ses rideaux. Treize salariés, proches de Julien Cohen, dénoncent leurs mises à pied, quand six autres employés se rangent du côté de Karen Ohana-Cohen. Les témoignages se croisent, parfois contradictoires, mais tous racontent la même chose : une ambiance irrespirable. Le bâtiment, au lieu d’accueillir les visiteurs comme avant, reste verrouillé derrière ses grilles, vidé de son activité.

Chaque camp raconte sa vérité. Pour les uns, Julien Cohen reste le patron charismatique qui les a toujours soutenus. Pour les autres, Karen tient sa place avec courage, malgré le silence et les attaques. Le résultat est brutal : plus de 300 000 euros envolés rien qu’au mois d’août. Dans cette affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen, les victimes collatérales sont aussi les clients, privés d’un séjour, et les employés, privés de revenus.

Quand la justice s’en mêle

Lundi 15 septembre 2025, le dossier a franchi une nouvelle étape avec une audience à Bobigny. L’avocate de Karen Ohana-Cohen a demandé une ordonnance de protection pour éloigner les deux ex-époux. Elle affirme que sa cliente a subi des insultes, des pressions et même des violences physiques, confirmées par un examen médical qui lui a accordé cinq jours d’ITT. Ces accusations, relayées par la presse, nourrissent le tumulte de l’affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen. Lui, de son côté, est visé par une enquête pour abus de biens sociaux, mais reste présumé innocent.

À cela s’ajoutent des plaintes croisées, comme si le couple s’était enlisé dans une guerre judiciaire sans fin. Les syndicats, eux, dénoncent une situation intenable. Les promesses de Karen de régulariser les salaires n’ont pas été tenues, et les employés parlent de « scandale absolu ».

Un administrateur judiciaire pourrait être nommé pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être. Lui seul aurait la main pour assurer le paiement des salaires et éviter un redressement pur et simple. Mais l’incertitude domine, et chaque jour qui passe creuse les pertes. Derrière les chiffres, il y a des vies suspendues, des familles qui attendent une paie qui ne tombe plus. C’est peut-être le volet le plus amer de cette affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen : des travailleurs pris au piège d’un divorce qui n’est pas le leur.

Une histoire privée devenue spectacle public

Ce qui frappe, au-delà du conflit, c’est la manière dont l’intime s’est transformé en feuilleton. À coups de communiqués, d’interviews, de conférences de presse syndicales, chaque épisode alimente la curiosité. Le public, habitué à voir Julien Cohen sous ses lunettes bleues sur les plateaux télé, découvre un tout autre visage. Karen Ohana-Cohen, jusque-là plus discrète, se retrouve malgré elle au centre d’un tumulte médiatique. L’affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen n’est plus seulement une histoire de couple.

C’est un miroir des tensions entre image publique et vie privée, entre business et émotions humaines. Certains dénoncent une surexposition, d’autres estiment qu’il est normal de s’intéresser à un entrepreneur devenu figure nationale. Le Relais Fleuri, qui aurait dû être un projet commun et porteur, se transforme en symbole de désunion. Au lieu d’accueillir mariages et banquets, il incarne désormais une rupture et ses dégâts collatéraux. Chaque camp affûte ses arguments, chaque avocat affine ses plaidoiries, mais le temps judiciaire ne guérit pas les plaies humaines. L’opinion publique, elle, observe, parfois avec compassion, parfois avec fascination. Cette affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen raconte l’échec d’un couple, mais aussi les dégâts d’une surexposition, quand les murs privés s’effondrent sous le regard collectif.

Une sortie de crise encore lointaine

À l’heure actuelle, impossible de savoir comment cette querelle va se résoudre. Une audience devant les prud’hommes est espérée pour régulariser les salaires, mais rien n’est encore fixé. Les procédures judiciaires pourraient durer des mois, voire des années. Pendant ce temps, le Relais Fleuri reste fermé, ses portes cadenassées comme un décor figé. La situation illustre l’impasse : trop d’argent en jeu, trop d’émotion accumulée, trop de rancunes affichées.

Chaque partie affirme vouloir tourner la page, mais aucun ne lâche. La suite dépendra autant des juges que des choix personnels des deux protagonistes. Et c’est peut-être ça, le vrai drame : au milieu du bruit médiatique, personne ne sait encore qui sortira indemne. Ni les salariés, ni les clients, ni même les Cohen. L’affaire médiatique sur la femme de Julien Cohen n’est pas seulement un fait divers, c’est une démonstration que l’intime, exposé, peut détruire plus qu’un couple.

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