Ce mercredi 20 août, il soufflera ses 85 bougies à Saint-Tropez, entouré d’amis brillants et de visages célèbres. La fête sera belle, sans doute fastueuse, comme toujours lorsqu’il s’agit de Massimo Gargia. Mais derrière les sourires figés et les photos mondaines, se cache une vérité plus amère : les difficultés financières de Massimo Gargia. Lui qui a incarné pendant des décennies l’opulence de la jet-set avoue désormais avoir perdu beaucoup de sa superbe matérielle.
Quand les difficultés financières de Massimo Gargia se dévoilent
Massimo Gargia aime encore recevoir, rire, séduire. Mais à 85 ans, il ne cache plus ses failles. Les difficultés financières de Massimo Gargia sont aujourd’hui un sujet qu’il aborde avec une certaine lassitude. Il se souvient d’une époque où il possédait jusqu’à sept appartements, répartis entre Paris, New York et Rome. Aujourd’hui, il n’en conserve que deux, et le reste s’est envolé au rythme de ses extravagances.
À « Gala », il confiait déjà en 2023 qu’il avait dû apprendre à « réduire la voilure ». Moins de voyages, moins d’achats compulsifs, moins de tout… sauf les fêtes. Car l’homme s’accroche à ce qu’il connaît le mieux : l’art de réunir. Il se console en évoquant son carnet d’adresses, une collection vivante d’icônes, de Miss France aux stars hollywoodiennes. Pourtant, derrière le charme et les souvenirs, il reconnaît avoir tout dépensé, sans vraiment regretter, mais avec une pointe de nostalgie.
Vieillir avec panache, malgré les failles
Parler d’argent n’est pas son seul aveu. Dans ses confidences, Massimo révèle une autre peur : celle de vieillir. Il déteste se voir changer. Le reflet du miroir le bouleverse chaque matin. À Jordan De Luxe, il avouait prendre des tranquillisants pour supporter cette nouvelle réalité, des somnifères pour fuir la peur de la mort. Les difficultés financières de Massimo Gargia ne sont qu’un aspect de sa fragilité ; le temps qui passe est une autre blessure, plus intime.
Il refuse la chirurgie lourde, craint l’anesthésie, mais accepte quelques piqûres superficielles. Ces artifices n’empêchent pas le manque d’énergie de s’imposer. Lui qui passait ses week-ends entre New York et Paris ne peut plus suivre le rythme. Les nuits folles appartiennent au passé, même s’il tente encore d’en conserver l’illusion. À défaut de voyages effrénés, il mise sur ses soirées tropéziennes pour garder une image intacte. Ses amis disent qu’il reste fidèle à lui-même, mais ses confidences dessinent un homme inquiet, prisonnier de souvenirs flamboyants.
Entre mémoire et survie
Les difficultés financières de Massimo Gargia révèlent aussi sa générosité excessive. Il a toujours su dépenser sans compter, souvent pour les autres. Lorsqu’il participait à La Ferme Célébrités en 2004, les 150 000 euros qu’il empochait servaient à payer le traitement de son épouse, Francine Crescent, atteinte d’Alzheimer. Derrière l’image de playboy frivole se cache donc un homme capable de dévotion.
Mais il reste lucide : dans son monde, l’argent dicte tout. « Les gens riches sont cruels, disait-il, ils cessent de vous saluer lorsque vous perdez tout. » Il ne le dit pas directement, mais chacun comprend qu’il parle de sa propre expérience. Les difficultés financières de Massimo Gargia ne l’ont pas brisé, elles l’ont rendu plus franc. Il rit encore, il charme toujours, mais son discours trahit une conscience aiguisée : il sait que son royaume n’est plus ce qu’il était. Et pourtant, il garde une certaine fierté, presque insolente, face au déclin.
Massimo Gargia, un homme entre éclat et fragilité
On pourrait croire qu’il se cache derrière les fêtes et les photos, mais Massimo Gargia assume tout. Les soirées de Saint-Tropez sont sa revanche sur le temps, un moyen de dire qu’il existe encore. Les difficultés financières de Massimo Gargia ne l’empêchent pas d’ouvrir ses portes ni de cultiver ses amitiés prestigieuses. Dans ses appartements restants, les murs tapissés de photos témoignent d’une vie vécue à cent à l’heure, entourée de femmes admirées et d’hommes de pouvoir.
Il reste le même personnage : excessif, brillant, fragile, parfois tragique. Ce mélange fait son charme et explique pourquoi, à 85 ans, il fascine toujours autant. Le temps et l’argent lui ont échappé, mais il conserve ce goût de la fête, cette capacité à transformer ses failles en spectacle. Au fond, Massimo Gargia n’a jamais cessé d’être ce qu’il est : un jet-setter, même quand les lumières s’éteignent et que la réalité reprend le dessus.